Une femme perdu depuis des année

[HRP : Je présume que je suis validé donc je me permet de poster]

Quand je sortis de ma cahette en compagnie de ma fille et rechercha aprés mes parents on me dis que mon père fesait partit d'un groupe appellé Cénacle, je rechercha alors ou était ce conseil et me voila en compagnie de Yasa, transformé en dragon nous volâmes toutes les deux, moi le dragon bleu elle le petit dragon noir sous mon ventre pret de mes griffes protégé comme il se devait nous venâmes d'attérir et reprîmes nos apparences humaines.

Fait attention ici Yasa ne fais confiance à personne, ne parle à personne et ne réponds à personne.

Oui maman!

Nous avancâmes doucement dans ce qui ressemblait à un palais, regardant tout autour de moi, c'était si grand, ca ressemblait à mon ancienne maison, car mes parenst était assez fortuné,et on avait une maison ressemblant à un chateau avec des ouvers d'art semblable à celle ci. Deux gardes se trouvait alors à une grande porte, je m'y avança calmement.

S'avez vous ou je peux trouver Théophil Tariliam?

Le grand sage Tariliam, n'a pas de temps pour vous dégagez!

Ils avaient une voix des plus méchantes et avaient étés trés agréssif en me répondant.

Je vois et vous avez besoin de me répondre ainsi je vous dis qu'il faut que je le vois!

Je restait calme et mit ma fille derrier moi.

On vient de te dire de dégager alors vas t'en.

Il posa alors sa main sur moi et fis pour me pousser. Ma rage monta alors puis je dégéna mon épée qui lanca un vent violent et le progeta sur le mur, l'assomant, je pris alors le deuxième par le coup dans une tempéte de vent, ma fille elle restait droite à ce vent abitué à celui ci.

Dis moi ou je peux le trouver!

Maman!

C'est en me retournant que je vis d'autres gardes arriver, je ckaqua l'homme contre le mur l'assomant lui aussi.

Yasa reste derrière moi.

Je me mis devant elle regardant les gardes et ltenant mon épée à pleine main, je l'enfonca dans le sol et cria.

Masamune, déchaine ta fureur.

De l'épée sortis un vent violent qui les fis tous tomber, tous sauf une personne qui avancait petit à petit se protégant les yeux. Je restais toujours calme regardant celui qui se dressait à quelques pas de moi...

Une journée pourrie comme tant d'autre, le conseil des Sages m'avait convoqué, le objet était normalement secret, mais ce n'était un secret pour tout le monde que les Sages allaient encore se plaindre des Gris, et comme j'étais l'un des représentant de l'Ordre, c'était moi qui devait me taper leur remontrances, bref, rien de vraiment excitant, et dire que j'étais la branche guerrière des Gris, je n'étais pas fait pour la politique, avec leur cerveau tordu.

J'avais laissé mon bras droit derrière, et j'étais vêtu de la tunique grise de mon ordre, comme tout représentant se devait de le faire, il faisait assez beau à vrai dire, les supérieurs volaient dans le ciel, quelqu'uns marchaient sur l'immense allée pavées de grandes pierre blanche et resplendissante entouré de merveilleuse colonne tout aussi blanche. Les chariot avançaient tranquillement sur les pavé, se faisant dépasser par les speeder à propulsion auratique.

Je marchais tranquillement au milieu de la masse disparate, tentant de ne pas me faire ecraser, au bout de l'allée s'élevait l'immense palais des Sages, blanc et imposant de quelques kilomètre de hauteurs comme dans les rêves les plus fou, s'elevant vers le ciel comme une pyramide cylindrique et parsemé de jardins suspendus tout plus paradisiaque que les autres.

Je parvenais enfin au bout de l'allée, lorsque j'aperçut un leger remue-ménage, encore un inférieur entrain de faire du grabuge certainement, rien de vraiment mechant, de toute façon si il m'attaquerais je n'aurais qu'à le trancher en fine lammelle, pas de quoi faire exploser une planète. Mais ma surprise fut totale lorsque je vis l'agitateur, ou plutot agitatrice, une femme, visiblement supérieur vu le Créon qu'elle portait à la main, le vent était fort, et je devais porter ma main devant le front, arriève à portée d'elle je lança fort:

" Alors comme ça vous venez troubler l'ordre public mademoiselle, attention, les forces de l'Ordres cénaculienne ne vont pas tarder à arriver."

Je fis un leger sourire se voulant rassurant, agitant ma tête de gamin en l'observant bien dans les yeux, faisant un salut à la petite fille qui se cachait derrière elle.

L'homme ne me voulait visiblement aucun mal, il parlait serénement et afficha un sourire à ma fille. Celle ci le regarda comme un enfant regarde quelqu'un qui s'interresse a lui avec un sourire immense et de la joie sur le visage, elle le regarda du haut en bas, puis j'intervins.

Yasa je t'ai demandé de rester derrière moi!

Je regarda le jeune homme toujours aussi calme, je retira mon épée du sol et le vent s'arréta net, plus une brise, plus un souffle, mes cheveux, retombèrent sur mes épaules et l'homme retira sa main, la chaleur revint, laissant le soleil se poser sur mon visage..

Je ne voulais pas faire de mal à quiqonque mais je voulais simplement voir un des sages, quand ses hommes mon parlé d'un ton que je n'ai aimé, un tel language ne doit etre exprimé ni a des femmes ni a des enfants voila pourquoi se grabuge.

Les gens derrière lui commencait à se relever, certains faisaient demi tour, d'autre me regardaient d'un air menacant. Le vent avait mit ce hall en pagaille et beaucoup relevaient ce que je venais de détruire, que faire, je me sentais bête mais je continua ma discusion avec cette homme, mon but était toujours de retrouver mon père et peut etre que lui savait ou le trouver!

Je ne voulais nullement perturbé cette terre, je voulais juste voir mon père! Mais vous jeune homme qui etes vous? Un guerrier?

Pour moi il ne pouvait y avoir qu'un guerrier pour marcher jusqu'à moi alors que mon épée déchéné sa force, mais peut etre le monde avait il bien changé, au loin des hommes arrivaient en courrant, qui étaient ils je ne le savait certainement les fameux gardes que l'homme venait de dire.

La petite fille n'avait pas l'air méchante ni timide en fait, par contre la mère avait l'air surprotectrice, c'était à n'y rien comprendre ce genre de situation sans queue ni tête. Je haussa un sourcil lorsque j'entendis sa requête, voir un Sage? Quelle idée! Qui était-elle pour trouver anormal de ne pas avoir la permission de ne pas voir l'un des hommes les plus puissant de l'Univers Connu, alors que seulement très peu d'homme pouvait se vanter de l'avoir, ne serai-ce qu'aperçu. Je lâche ironiquement, assez amusé par la vagabonde:

" Voilà une requête qui a le mérite d'être original. Vous voulez voir un Sage, alors que certain des hommes qui travaillent dans ce palais ne les verront jamais. Et puis lequel venez vous voir?"

J'entendis sa deuxième phrase, et dès ce moment mon regard se fixa, son père? Mon esprit ne m'avait-il pas abusé, avait-elle vraiment dit ce que j'avais crû entendre, quel pouvait bien être son père, elle était vêtu de guenille, et ce n'était certainement pas les habit d'une membre d'une famille de l'un des Sage, les membres familiaux étant pour la plupart des petits clampins étant sûr de succéder à leurs père, et de vivre à tout jamais dans l'opulence et la facilité, et rien de cela ne ressortait de cette femme.

Peut être était-elle folle, allait savoir. Puis vint la question, la fatidique question, qui j'étais? J'étais pas mal de chose en fait, je pouvais dire que j'étais Kahir O'Brock, auguste de la famille O'Brock, celle qui est considérée comme une pustule sous le pied du Cénacle, la famille la plus importante des Sombres, ou bien je pouvais dire que j'étais un Gris, d'apparence plus simple, mais ayant toujours cette réputation d'emmerdeur du Cénacle. Je tenta la diplomatie:
" Je ne suis qu'une messager chargé de rapporter un rapport de l'assemblée du Cénacle. Je ne suis pas un guerrier, loin de là, juste un méssager."

Mensonge basique, mais semblant avoir de l'effet, j'étais heureux que cette cape grise recouvre les écussons de la famille O'Brock, et que Krélor ne m'ais pas accompagné, sinon il aurait sorti le grand jeu, avec la longue sérénade me présentant, et me mettant mal à l'aise. je vis alors les forces de l'ordre arrivait, je lanca un sourire aux lèvres:

" Mais peut être aimeriez vous m'accompagner, je ne peux pas faire grand chose pour vous, mais au moins vous faire pénétrer dans le palais. Sinon, pourrais-je au moins savoir qui vous êtes?"

Danraë lacha hargneux, et mécontent comme à son habitude:

* Toujours à aider ces clochards piteux. Tu devrais te reconvertir dans l'aide interstellaire, ou devenir un débile de Concile, au moins t'aurais trouver ta voie."

*Ferme là, t'as vu ce qu'elle a fait, ça pourrais être intéressant de connaître une femme capable de donner une bonne raclée à ces gardes du palais.*

Je repris alors à l'attention des autres, qui eux me connaissait, et n'osait pas s'approcher du petit trio:

" Tout est bon, je vais m'occuper d'elle, vous pouvez repartir."

Il obéirent sans hésiter, à l'ordre d'un chef de famille.

Sa présentation, elle me fit rester neutre mais je savais au fond de moi qu'il me mentait, un simple messager ne pouvait vaincre ma magie, et ce sont surtout ses yeux, ses yeux n'avaient mentis! Je fis l'air de rien, l'air tranquille de la femme qui aimait qu'on lui réponde, pour ca mes qualités d'espionne m'avait toujours servit, cacher la vérité en regardant droit dans les yeux sans qu'aucun mebre de notre corps nous trompe, alors je me présenta a lui sans lui mentir.

Je suis Saphira Tariliam, fille de Théophil Tariliam grand sage du cénacle à mes dernières nouvelles, donc fille d'un des plus grand dragon marins et de ma mère Silia qui elle était une guerrière dragonne sanguine. Et voici ma fille Yasa, descendante du grand guerrier sombre Achil Nobé, mon défain époux!

Il n'y avait que la dernière phrase qui n'étais pas sur, mon mari était partit en mission et n'était jamais revenu, nul ne savait si il était mort ou retenu prisonnier...

Il avait eut aussi dans ses yeux du mépris en me regardant, certe je n'étais pas belle a voir, 5ans enfermé dans une grotte n'était pas trés sein, mais je comptais sur ma nouvelle vie pour changer! QUand les gardes arrivèrent il leurs dit qu'il s'occupait de moi, tous partirent puis il m'ammena dans une direction opposé! C'est alors que ma fille pris la parole.

Dit toi maman a dit nos prénom mais toi c'est comment déja? Je pense pas que tu nous l'ai dit!

Je regarda le jeune homme puis lui murmura sans que ma fille ne l'entende.

Vous venez de me mentir ne faite pas deux fois la même erreur!

Immediatement, je vis qu'elle était vraiment une fille de Sage, ce ton hautain sur les autres, cette assurance se croyant indéfaillible, bref le genre de personne que je n'appréciais pas le plus au monde, elle avait eut l'air de voir que je mentais, ce qui dénotait chez elle une certaine experience, car une personne normale n'aurais put le déceler. Elle n'étais pas seulement la fille d'un des plus grand Dragon marin, elle était tout simplement la fille d'un des chef de l'univers, qui s'était bien longtemps détaché de l'ordre des Dragons pour prendre la tête du Cénacle.

Mais d'apparence elle n'était pas comme lui, je voulais dire par là qu'elle était sale, belle mais mal habillé, cela changerais très certainement lorsqu'elle aurait repris sa fonction très difficile de fille de Sage, elle serais alors magnifique, mais là n'étais pas la question, j'avais très peu envie que l'on me voit avec une fille de Sage, c'était plutôt mal vue dans l'Ordre des Gris de s'afficher avec une eprsonne qui se rapprochait de près ou de loin du Cénacle.

Mais bon, il n'y'avait aucun Gris ici, et vu que je faisais parti du triumvirat de tête de l'Ordre, très peu de gens pouvait me critiquer. Lorsque els gardes s'en allèrent, et que la fille me demanda mon nom, je gardais mon sourire hypocrite, comme tout bon politicien, pouvais-je lui dire, je ne sais pas, peut être, et puis pourquoi pas, je lui avais dit que je n'étais qu'un messager, et la plupart des gens n'avait pas de nom de famille dans cet univers, je répondis alors:

" Kahir, juste Kahir."

Lorsqu'elle me chuchota qu'elle avait vu que j'avais menti auparavant je fis un grand sourire, pas encore prêt à me faire intimider par une femme, je chuchota à mon tour:

" Les erreurs sont celles qui vous perdent pas celles qui vous garde."

Elle ne devait pas très bien avoir compris, mais cela me paraissait clair, dans ce monde dire tout sur soi était une erreur, car l'on n'étais jamais à l'abri de quoi que ce soi, je repris alors, avec un petit sourire:

" Y allons nous?"

Je réajusta ma cape pour cacher ma veste en dessous, et parti vers l'avant, et bien, le conseil des Sages allait être surpris, je lui apportais des nouvelles des Gris, et une fille et une petite fille en prime.

Il réajusta ses habits, puis partit loin devant, je me mis à le suivre et ma fille toujours aussi surieuse, se mit pret de lui, je restais derrière préte a quoi que ce soit, et ma chérie lui demanda.

Dis moi Kahir, tu connais mon grand père?

Oui un peu

Maman me parlait souvent de lui, il est grand à ce qu'elle m'a dit, et il était trés fort, mais maman a peur qu'il a changé car beaucoup de gens on eut peur quand maman a demandé s'il le connaissait! Tu sais pourquoi ils ont eut peur toi Kahir? Moi en tout ca je veux le voir, même si je ressemble pas beaucoup a maman je suis le portrait craché de mon père tu sais mon père était un grand guerrier comme maman d'ailleur c'est comme ça qu'il se sont rencontré, et puis...

Yasa, tu parles de trop n'embéte pas ce monsieur s'il te plait! Excusez la Kahir elle est une enfant qui sort de son trou et qui commence a connaitre la vie.

Nous arrivâmes devant une petite porte quand il s'arréta!

Toutes ces questions sur son grand père, à vrai dire, il ne valait mieux pas que je lui réponde ce que je pense de lui, car après tout, j'étais un Gris, et nous excrons ces hommes qui se croyaient au dessus de toute autorité même si cela était vrai, mais l'on pouvait tout de même dire qu'il ne nous le rendez bien, car l'un des pire ennemi du Cénacle était l'Ordre des gris, mais il ne pouvait pas s'attaquer directement à cet Ordre, donc il se contentait de le miner de l'intérieur.

Que les gens ais peur de lui, pas très étonnant, qui dans cet univers à part un membre de l'Ordre des Fort ou des Gris ne serait pas éffrayé par un Sage, l'un des hommes le plus puissant de ce fichu Univers Connu. Je préféras garder mon silence de peur que ma langue bifurque, et que je dise à la petite dragonne les quatres vérités sur son damné grand père.

Ses parents avaient l'air d'etre des guerriers, cela par contre était étonnant, les membre des Familles des Sages se spécialisant la plupart du temps dans la politique et la fourberie. Arrivé dans le hall, les gens me regardait avec suspicion, comme si le Mal s'était permis de pénétrer dans le saint des saint. Arrivé devant la porte principal je m'arrêtas, derrière cette porte, siégait les six Sages qui avait demandé au Gris de leur envoyer un émissaire pour discuter d'une chose, on ne m'en avait pas dit plus. Je me tourna vers la femme:

" Vérifions si vous êtes réellement sa fille."

Un garde s'approcha l'air autoritaire, avec ce visage hautain de tout les membres du palais:

" Vous! Qui êtes vous déclinez votre identité!"

Je ne voulais toujours pas que ces deux là sache qui je suis, pas que je ne leur fasse pas confiance ce qui était le cas, mais j'avais appris lors des mes innombrable voyage que dévoilait son identité menait souvent à se mettre en danger, je m'approcha de lui, et chuchota:

" Kahir O'Brock, chef de la famille O'Brock, et ambassadeur des Gris, elles sont avec moi."

Son visage hautain détint au vert bien rapidement, et sans attendre plus, il ouvrit la porte qui s'ouvrit sur un immense tapis rouge, menant vingt mètre plus loin à une éspece de long bureau, ou siégait ces fichu Sage dans leurs plus beau habit d'apparat.

Il nous dit que nous sommes arrivés au palais des sages. Je rajusta mon corset ainsi que mes cheveux, je n'étais certes pas élégante mais je voulais être de mon plus bel atout pour revoir mon père tant aimé. Yasa, n'arraitait pas de se tourner les doigt dans tous les sens se mordant les lévres. Je lui pris alors la main perdant que Kahir aille parler au garde.

Tout va bien se passer Yasa quoiqu'il nous dise on restera ensemble, ne t'en fait pas.

Quand je me releva la porte était ouverte et Kahir entra, nous le suivâmes, mais passant pres du garde je vis qu'il avait de la peur sur son visage, drole de chose pour quelqu'un qui venait de faire rentrer un simple messager, une preuve encore qu'il m'avait menti.

Au loin une table avec des hommes autour, avant de continuer notre marche je murmura à ma fille.

Si je te dis de partir tranforme toi et envole toi dans notre cachette, ne fais confiance à personne!

Mais maman il y a Kahir, il nous aidera.

Il n'a pas encore notre confiance ma belle alors si il arrive quelque chose tu pars et tu m'attends la ou je t'ai dis.

Oui maman d'accord.

J'avanac un peu plus vite pour rattrapper Kahir, puis nous avancâmes petit à petit, aprés tout ce que j'avais entendu sur les sages ce n'était pas des gens trés apprécié et je ne comprennait pas ce pourquoi mon père était là dans ce cas. L'un d'entre eux se leva alors et dit.

Qui etes vous!

La grande table de marbre blanc s'elever devant nous sur une espèce de petite estrade pour bien marquer le fait que les Sages étaient supérieurs à leur visiteurs, rah eux et leur amour propre. Je lança un coup d'oeil vers la femme et son enfant, elles m'avaient rattrapper. Arrivé face à eux, le Sage Angelique se leva et lança d'une voix forte et hautaine au possible:

" QUI ETES VOUS!!"

Mon visage se durçit, je perdis cette innocence qui était resté figé sur mon visage tout au long de mon trajet. Pourquoi étais-je devenu si sérieus soudainement? Danraë en apporta la réponse:

* Pour qui se prend-t-il ce con? il sait très bien que tu es kahir O'Brock le gris, ne te laisse pas faire, ne le laisse pas mener le jeu dès le début!*

* Je sais très bien ce que j'ai à faire, mêle toit de tes affaires pour l'instant sinon je te colle avec une âme bénéfique.*

Cette menace eut pour effet de le faire taire, tant mieux, je détestait recevoir ses conseils sans arrêt, même si la plupart du temps il avait raison, comme dans le cas à présent, car je ne devais pas laisser ce vieux crouton mener la danse, j'était un gris après tout, un membre de l'ordre qui se permet encore dans l'Univers Connu de tenir tête au Sage, je repris d'une voix assez forte, comme pour l'accompagner dans son escalade de mépris.

" Je suis Kahir, chef de la famille O'Brock, vous le savez très bien. et je suis ici au nom des Gris, car vous avez violé un des accord de paix avec une cité sous protectorat des Gris!"

Les Sages se regardèrent puis tournèrent leur regard haineux vers moi, se demandant comment un petit ver de terre tel que moi oser leur tenir tête. Pour eux, les Gris n'étaient que des petit éffronté, se cachant derrière un équilibre tout tracé, alors qu'en fait nous ne suivions que nos intérêt, ce qui n'était pas totalement faux, mais dans tout l'univers cela marchait comme ça.

Il murmurèrent un moment, la soi-disante "fille" du sage Dragon n'avait dit aucun mot. elle pouvait le voir, face à elle, un vieil homme comme rongé par le temps mais malgré cela qui avait gardé une prestance hors du commun. c'était le seul dans l'assistance a avoir obtenu ce poste comme cela. tout simplement parce que son prédécesseur était mort sans descendance convenable, et qu'il était de loin parenté à l'ancien Sage Dragon. Je repris, avec une voix plus forte que la leur pour couvrir leurs murmures:

" Et cette femme, dit être votre fille, Sage Tariliam."

Je passa alors devant l'homme qui nous accompagnait, puis salua de nouveau les sages.

Je suis Saphira Tariliam fille de Théophille et de Nobé, je viens ici pour retrouver ce qu'il reste de ma famille et présentait à celui qui ma élevé ma fille Yasa.

La petite se présenta alors devant moi et salua la cour.

on entendait les murmurs des sages,puis une chaise bouger.

Si tu as vraiment ma fille regarde moi et montre moi tes yeux!

J'avais des yeux inoubiables ceux de mon père bleu turquoise autour et beu ciel autour de iris noir.

Il me regarda, lui il avait bien changé, surtout veilllit, mais je le regardait dans les yeux, qui eux aussi avait perdu leurs couleurs intense. Il s'arréta alors devant moi puis je vis dans ses yeux une larme de joie, un bonheur dans son coeur, il regarda alors Yasa puis il dit d'un ton sec et dur.

Comment osez vous faire du mal a un homme de mon age!

Je fus extrémement surprise de cette réponse, alors par télépatie je dis à ma fille de se tenir préte à partir puis il finit par dire.

Mais je suis si content de vous retrouver enfin!

Il nous serra dans ses bras et nous embrassa avant de nous reposer.

Soyez les bien venus!

Merci père remerciez également cet homme c'est grace à lui que nous avons réussit à entrer, je vous remerci jeune kahir.

Je vis alors dans les yeux de mon père une crainte mais je ne savais dire ce qu'elle signifait!

Il l'avait reconnu, comme je l'attendais, ce ne fut pas une grande éxplosion de joie, mais il était rare de boir un Sage montrait tant de sentiments, cela l'avait visiblement bouleversé, chose qui était rare chez un homme qui a pour fonction de diriger l'Univers. Il parut alors amical avec sa fille et sa petite fille, pas étonnant en fait, maintenant elle allait être chouchouter, vivre dans de grands palaces, être habillé de robe qui valaient parfois des maisons entières, tel était la vie d'un Supérieur de la haute société.

Un grand sourire, légèrement sardonique s'inscrit sur mon visage lorsqu'elle lui demanda de me remercier, il y'avait certaine chose qu'un Sage ne pouvait pas faire. Cette crainte dans les yeux, je la reconnaissais, ce n'était pas seulement de la crainte, mais aussi de la haine, de la haine envers un Supérieur qui tenait la tête avec son Ordre au grand et omnipuissant Cénacle.

Elle m'avait aussi appelait jeune Kahir, c'était peut être aussi une des raisons pour laquelle le vieux Sages fut légèrement craintif, personne n'aurait osez me dire "jeune", comme si j'étais un simple inférieur de rang, mais je me fichais pas mal de ce jeune, car après tout, même si la plupart des gens l'ignorait, c'était vrai. Je me mis au côté de la jeune fille, et dit amusé:

" Je me passerais de remerciement de la aprt de votre père, après tout, chacun de nous deux à son honneur à conserver, et être remercier par un Sage n'est pas très bien vu chez les gris."

J'avais dévoilé un petit peu de mon identité, mais tant pis, elle aurait bien dû l'apprendre un jour ou l'autre, et visiblement, elle ne connaissait pas la Famille O'brock, elle avait du passer un certain temps dans sa grotte, bien que ma famille était toute naissante. Je repris aussi tranquillement que j'avais commençait:

" Mais je garde toujours cette requête, messieurs, retirez imémdiatement vos troupes de la planètes Harikus, elle est sous notre protectorat, et nul n'a le droit de la conquérir. Si vous voulez, je vous remontre le traité dans lequel vous nous aviez certifié que vous ne vous y attaqueriez pas car elle constitué un rempart contre l'Ordre des Forts."

"Mais je garde toujours cette requête, messieurs, retirez imémdiatement vos troupes de la planètes Harikus, elle est sous notre protectorat, et nul n'a le droit de la conquérir. Si vous voulez, je vous remontre le traité dans lequel vous nous aviez certifié que vous ne vous y attaqueriez pas car elle constitué un rempart contre l'Ordre des Forts."

Cette phrase me fit alors douter de la blancheur du coeur de mon père écoutant la suite du discourt de ce garçon, je vis alors le pouvoir qu'avait ce cénacle, même un traité de paix en main il donnait tors au garçon, il le menacé même limite d'avoir un faux papier! Comment mon père avait-il fait pour être ainsi, je demanda alors à Kahir de me montrer le décret.

C'est alors que je vis que le garcon avait raison, le papier était signé du saut du cénacle et de celui de sa troupe. Mon père toujours à mes cotés ne fit alors douter de sa bravoure, je mis Yasa derrière moi

Mais père pourquoi vous dite le contraire, c'est bien le saut de votre confrérie sur ce papier!

Ne te mêle pas de sa ma fille tu ne sais pas ce qu'est ce garçon il est notre ennemi et lui aurait fait l'inverse sans meme tenir compte d'un traiter.

Peu importe ce que tu pense de lui, ce papier stipule que vous n'avez aucun droit sur cette terre vous etes en tors.

Ne vous mêler pas de ca jeune fille vous n'avez aucun droit!

Cette phrase me mit encolère, ma famille avait toujours militer pour le bien ce territoire était libre grace à nous, grace à mon époux et la il dirigait une terre pour laquelle aucun d'entre eux n'avait un jour militer pour sa liberté, c'est alors que j'allais répondre mais Kahir le fit à ma place...

Un sourire s'esquissa sur les commissures des lèvres du jeune Gris, La jeune femme pouvait voir ce qu'il en était, ses paroles se durcirent envers elle, il finit par lui crier dessus, avec ce son si terrible qu'on a envie de le frapper. Je me tournai alors vers elle, elle avait visiblement oublié la place des femmes au Cénacle, ce n'était pas un univers conçu pour elle, où les hommes avaient pris le pouvoir, enfin en apparence. Kahir lacha dans sa barbe inexistante:

" Et bien et bien, que d'aventure."

Mais ce n'était pas le moment de plaisanter, le Sage continuait dans ses divagation, et sa colère augmentait, je savait qu'il haïssait les gris mais de là à nous faire front de la sorte, je ne savait pas quoi en penser, savait-il une chose que nous ignorions, je ne savais pas, je continuait alors, durcissant mon ton:

" Sage, le papier est devant vous, inclinez vous, ou même l'Ordre des Sages vous tournera le dos. Cet édit est juridiquement bon, continuait dans cette voie et vous discrediterais tout le cénacle auprès des autres, et surtout n'oubliez pas que si vous refusez toujours, ne vous attendez plus à recevoir l'aide des gris lorsque vous l'attendez, ne serais-ce que pour préserver l'équilibre."

Le "Sage" sembla s'assagir, heureusement, sinon, malgré moi, j'aurais mis l'Ordre entier dans une drôle de posture, mais l'homme posté devant moi savait que j'avais raison, et il allait devoir l'accepter qu'il le veuille ou non.

Pendant que Kahir, parlait je regardait les eyux de mon père, ou était cette flamme, cette soif de liberté, cette flamme qui faisait qu'il aimait se battre pour le pays et non entamer, des guerres. Il n'y avait plus rien juste du pouvoir, de la soif de pouvoir, et cela me fit comprendre que mon père était bel et bien mort et que mon époux avait combattus pour une cause qui aujourd'hui aurait détesté. Sur le contrat qu'il vait il était stipulé que je devais en cas de disparution pendant cinq ans prendre sa place, c'était aussi un peu pour ça que j'étais remonté je ne voulais pas etre une hors la loi.

Le sage venait de se calmer, alors je profita de la situation pour m'avancer vers eux et mettre qur la table le papier de mon époux.

Comme vous le savez, cela fait 5ans que votre meilleur espion a disparut, je dois prendre sa succession mais je dois dire qu'avec ce que j'ai vu aujourd'hui je n'ai nul envi de travailler pour vous, je viens donc rompre le contrat de mon époux.

J'attendais leur réponse, mais il n'y avait en moi plus aucun respect pour eux, plus de révérence, comme j'étais triste d'avoir présenté à ma fille qui me regardait se rapprochant de l'homme qui nous avait conduit ici, ce grand père égoïste complétement différent de ce que je pensais.

Il se trouvait à coté de moi me regardant on aurait dit qu'il était prés à pleurer, c'est alors que je vis enfin à son coup; une bague, ou plutot une alliance, et c'est la que je me suis souvenu que le serment de mes parents étaient de porter l'alliance de l'autre une fois que la mort l'aurait emporté, preuve de leur amour innoubliable, cette fois j'en avait la certitude ma mère était donc morte...

C'était presque jouissif de voir ce Sage si fier de lui se prendre tout ça au visage, et en même temps qui plus est, des ennuis avec l'Ordre des Gris, et sa fille qui semblait le haïr. Kahir fit un léger sourire cynique, il n'était pas forcément mauvais au contraire de son âme, mais il aimait voir ces hommes si hautain, si supérieur se fendre la tête sur le béton comme une pomme écrasée par un marteau de guerre.

Il aurait presque embrassé cette femme, si on ne lui avait rien appris de la bienscéance bien sûr. Il pensa que c'était le moment de se retirer, mais le devoir le fit rester immobile, attendant la réponse du Sage qui était apparement ébranlé mais qui tenter de le cacher devant ses confrère avec un regard glacial et inexpressif, mais il ne trompait personne, ce que venait de dire sa fille l'avait touché.

Le Sage Vampire commença alors, pensant que c'était le bon moment pour intervenir, et faire cesser cette comédie, avant que Kahir ne puisse raconter à son ordre comment un Sage s'était fait démolir mentalement par une femme, de sa famille en plus:

" Kahir O'Brock, le Gris, vous pensez peut être que votre ordre est intouchable, mais laissez moi dire cela, vous n'êtes pas invincible, et un jour vous devrez bien voir la vérité en face. Quant à cette maudite planète, gardez là, nous n'en n'avons que faire."

Encore un léger sourire de Kahir qui entendit Danraë lancer amèrement:

* Cet enfoiré de Sage t'a manqué de respect, tue le!*

* Peut être un jour mon cher, mais pas maintenant.*

* Espèce de lâche.*

Kahir n'en n'eut que faire de cette remarque, il n'y était que trop habitué. A ce moment, il aurait dû partir, mais sa curiosité qui lui avait amené tant de bien et de mal le poussa à rester encore une fois, attendant le dénouement.

Mon père avait eut mal, mal de mes paroles qui venait de détruire le seul lien qui nous tenait l'un à l'autre. Puis mon père signa le traiter quand le vampire pris parole sur Kahir, le sage angélique pris alors discrétement le papier.

Hors de question que vous partez nous avons perdu un espion et vous le remplacerez.

Je sortis alors mon épée alarmant alors les sages qui tous se levèrent.

Je vous déconseille ce que vous venez de dire, donnez moi ce papier.

Mon père mit alors sa main sur la mienne abaissant mon épée.

Nul n'a besoin de prendre de force ce qu'il a de droit.

Il reprit la feuille et l'arracha devant tous. Je retira alors mon bras de son emprise.

Je ne veux pas etre touché par votre mal père ne me touchez plus, quand à vous si cette terre ne vous plaisez pas pourquoi l'avoir envahit.

Rangeant mon épée le sage vampire me répondit.

Je n'ai pas à répondre à une faible femme même si elle a soit disant du sang de notre conseil, elle n'a nul pouvoir ici, alors repartez dont vous venez baicher les terres qui nous appartienne et ne revenez plus!

En moi même une voix disait, mais de quoi te parle t-il lui sort ton épée et tue le toi tu le peux, rapide comme l'éclair tu n'en fera qu'une bouchée, mais une autre voix, me conseillait de ne rien dire et de repartir, la vengence ce prépare, la vengence ce calcule, la vengence est longue mais si délicieuse. Je tourna le dos à cette table, qui ne méritait pas ma venue quand l'angélique repris!

Nul n'a le droit de nous tourner le dos !

Ne bougeant pas continuant de marcher en direction de ma fille et surtout de la porte je m'écria.

Ce sont vos régles et vos loi, pour ma part je ne vis pas ici je n'ai donc pas besoin de les suivre, de plus vous n'etes pas digne d'un rois pour avoir cette hommage.

Prennant ma petite dans les bras je regarda Kahir.

Merci pour tout monsieur Kahir, sachant cela je ne serai pas venu, désolé pour ce que je vous ai fait faire.

Je m'inclina devant lui puis partit en direction de la porte ma fille versant une larme vers l'homme qu'elle aurait put aimer comme l'aurait fait une vrai petite fille à son grand père...

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