La légende du Destin (partie I)

Le Destin fut envoyer par Mérianild pour créer un Univers, il obéit à son créateur mais il trouvait ces chants bien ennuyeux. Le Destin était fort, terriblement puissant, mais se lassait vite, et lorsqu'il appris que son maître s'éxilait, il en profita pour prendre du repos.
Il se reposa longuement à l'écart de tout bruit, ruminant son ennui, cherchant une chose pour le distraire, et alors que tout les autres dieux s'affairaient à orchestrer leurs Univers en l'absence de leurs maîtres Mérianild l'Exilé, lui, se promenait à sa guise dans l'Univers dépourvu de son.
Il se décida un jour à rentrer dans son Univers, et la surprise fut si grande qu'il ne put contenir son désarroi, et fit échapper un cri, qui craquela tout les planètes de son Univers, toutes les étoiles s'éffondrèrent de Terreur devant son déséspoir. toutes les planètes chantaient différement, certaines hurlaient, certaines murmuraient, certaines parlaient entre elle, d'autres se taisaient en restant dans leurs coins d'Univers.
Et la surprise passée, le Destin trouva que cela était déjà plus intéressant que la mélodie unique que voulait son maître, il aimait la diversité, et cela le comblait. Et le veillard commença à aller sur les planètes pour écouter chacun de leurs chants ou de leurs silences caractéristiques à chacune. Le vieillard encapuchonné dans unr robe noire se promena longtemps sur les planètes avant de se rendre compte d'une chose. Elles étaient d'une morosité terrible. Bien qu'elles étaient rondes, elles étaient plates à la surface, l'eau ne cessait pas de glisser sur sa surface n'ayant aucun relief pour pouvoir rester à une place bien précise. Il prit alors sa forme spirituelle pour pouvoir réfléchir, puis par une illumination, il trouva ce qu'il devait faire. Et d'un coup de pied sur le sol de l'Univers Connu, il le fit trembler, les terres se craquelèrent, les monts s'éleverent, les océan se formèrent, les grottes se creusèrent, leurs orbites calculées jusque là se déformèrent, et toutes les planètes furent recouvertes de reliefs abondants, de grandes mers, certaines bordées de rochers, d'autre de plage de sable fin, elles étaient plus ou moins proche de leurs étoiles, qui les réchauffaient plus ou moins fortement.

Les planètes protéstèrent, du moins au début, car elles s'aperçurent que soudain leurs chants se moduler à leurs simple volonté, la diversité de ces voix fit rire le Destin, et lorsqu'ils virent la joie du Destin beaucoup des autres Dieux qu'avaient crée Mérianild l'imitèrent.
Ce fut alors un grand déchainement dans tout l'univers, les Dieux frappèrent du pieds, hurlèrent de toutes leurs forces, riaient aux éclats, et de chacune de ces actions naissaient les monts, les montagnes, les collines, les grottes, les océans, les mers, les lacs, les marais, les nuages. Et depuis ce jour, le Destin est considérer comme le chef de tout les Dieux Supérieurs.
Puis le Destin se dit qu'il fallait créer des êtres pensant comme lui, il jeta un regard autour de lui, et ne vit pas meilleurs formes pour ces êtres pensants que la sienne lorsqu'il se matérialisait, c'est à ce moment qu'il créa les Dieux Inférieurs, il en créa six, et leur attribua à chacun des Dieux que l'on appela des Dieux servants.
Il s'inspira comme son maître l'avait fait avant, des sons pour créer les Dieux Inférieurs, et pour leur attribuer une planète d'origine avec laquelle la musque de ces Dieux s'accordait le mieux au chant de la panète:
Ils creusa alors six flûte différentes, il prit plusieurs Ages pour creuser chacune d'elle, car il voulait qu'elles soient parfaite qu'il n'y'ais rien à refaire lorsque les Dieux seraient nés:

Il souffla alors dans la première flûte, la musique se fit froide et gracieuse, glissante comme une rivière de métal sur un lit de rivière gelé, et avec le grâce de milles colombes, ainsi fut né le Dieux Jervilor, créateur des Anges. Et la planète qui chantait comme la flûte était le Paradis, une planète avec de vastes forêts éclairés par de nombreuses clairières aux allures magnifiques. Les Anges furent alors créer à l'image de la musique, ils construirent leur habitats dans les clairières, et ils vivèrent toujours ensemble, avec un regard critique. Le Destin s'appuyer sur cette race pour faire régner l'ordre dans l'Univers Connu, car leurs ésprit calculateurs, et froid ne voyait que le bien dans les concepts et non dans la nature des personnes, pour eux, seul importait le général, et non l'individuel. Les femmes quant à elle furent doté d'une beauté et d'une légèreté qui aurait plus faire planer un non ailés, elle laissèrent aux hommes les tâches ennuyante pour s'affairer aux plaisirs de la vie, commes le chant, l'art, et l'amour.
Le Dieu Jervilor eut alors la permission de créer son Dieu servant, Il prit alors l'écorce d'un grand et vieil arbre pour faire le buste, la blancheur nacre de la lumière pour faire leur peau, et de longues feuilles pour faire leurs oreilles, car il voulait que cette race soit à l'écoute, pour mieux pouvoir agir, ainsi nacquit Miralwë Dieu des Elfes, il était beau et agile, il écouter la nature comme nul autre, il installer sa demeure dans la forêt bordant les clairières où habitait le Dieu Jervilor, ainsi nacquirent les Elfes, inférieurs directs des Anges.
Le Destin vit que l'ordre allait pouvoir être construit grâce à eux, et il les laissa sous la surveillance des deux Dieux.

L'ordre était donc fait, mais cela deviendrait vite ennuyant si il n'y'avait personne pour briser cette ordre, il souffla alors dans la deuxième flûte, et de celle-ci sortit une mélodie joyeuse, plein d'entrain, et de vie, bien qu'elle ne respectait aucune mesure, ainsi nacquit Merilios le Dieux des Dragons. La planète qui était comme la musique s'appellait Neirlard, elle ne se ressemblait pas d'un bout a l'autre de ses terre, c'était une grande île, entourée d'eau, les bords était soit rocheux, soit sablonneux, la terre était verdoyante, verte comme un émeraude qui vous éblouit, et aux tréfond de son corps se trouvait une immense grotte qui faisait tout le tour de la planète passant même sous l'océan. Les Dragons furent alors créer à l'image de la musique, leurs ailes était écailleuse, certains faisaient la fête des années durant, certains se battaient, et l'insouciance régnait dans ce peuple, ils ne prenaient jamais rien aux sérieux et se moquait bien de ces Anges qui ne savaient pas profiter de la vie. Mais ils aimaient les femmes des Anges à cause de leurs beautés. Mais les Dragonnes n'avaint rien à envier aux Anges, elles étaient certes moins fines, et moins gracieuses, mais leurs sourires aurait put faire fondre les montagnes, leurs chants ennivrant étourdissait les têtes des Dragons pendant les fêtes, et leurs formes parfaites ondulés dans des danses joyeuses.
Le Dieu Merilios prit alors la décision de créer son Dieu servant, il prit la fougue de la mer sur les côtes de Nervirone, l'odeur de l'herbe fraiche dans les plaines, et les roches petites et dures des grottes, ainsi fut créer Simli Dieu des Nains. Les nains étaient comme leurs maîtres direct, ils aimaient chanter, boire, et se battre, de plus ils apprirent le dur labeur, pour aider leurs maitres avec qui ils s'entendaient particulièrement bien, ils y'avaient même un jour où les Dragons et les Nains faisaient la fête ensemble.
Le Destin sut alors, que la joie avait un bel avenir, et qu'il pouvait laisser ces deux Dirigés leurs peuples à leurs guises.

Tant de fêtes et d'insouciance risquait de mener à la perte de l'Univers, il souffla alors dans la troisième flûte, le son fut d'une beauté supérieur aux deux autres, mais la musique était mélancolique, et d'une rare solennité, elle était comme un chant provenant d'une nuit sans fond, terriblement belle, mais terriblement inquiétante à la fois, ainsi vit le jour, Dracula Dieu des Vampires, et la planète qui ressemblait à son Dieu était le Darélio, cette planète était recouverte d'une nuit froide éternelle frappé par de grands vents, couverte de grand et massif rocs dans lesquelles furent creusé les châteaux des Vampire. Les Vampires prirent l'apparence de la musique, ils étaient grand, d'une beauté hypnotique qui rendu fou bien des humains et humaines. Ils étaient d'apparence noble et hautaine, ils regardaient le monde avec des yeux las, et sans intérêt, seul leur éspèce les intéressait, et il cultivait cette noblesse qui les hissait au dessus des autres. Leurs femmes étaient sans pareilles, leurs beautés étaient envoûtante et terrible à la fois, l'on ne pouvait détourner son regard de cette fine peau blanche, mais l'on s'y forçait de peur qu'elle nous attaque, car elles avaient héritées de la froideur Angélique.
Dracula pensa alors qu'il était temps de créer son Dieu servant, il prit des brindilles qui était apporter par le vent, et une feuille translucide pour faire des petites ailes, ce fut comme cela que Haelias Déesse des fée vint au monde. Minuscule petite chose, elle obéissait aux ordres sans réfléchir, et celui qui aurait oser lui dicter sa manière de faire aurait vite fait de se retrouver avec plusieurs fait lui criant dessus jusqu'à ce qu'il partent? Les fées sont teigneuse, et sont comme leurs maîtres directes, ne respectant que leurs maîtres et leurs propres races, elles ont une grand aversion pour les Dragons qu'elle trouvent arrogant avec leurs airs toujours joyeux.
Le Destin voyant cela, se dit qu'il ne fallut plus s'en faire pour insérer de la noblesse dans l'Univers.

Mais toute cette noblesse était plus que pompeuse pour lui, et il voulu une éspèce répondant à ses instincts, c'est ainsi qu'il fut amener à souffler dans la quatrième flûte. Un son fort et retentissant en sortit, le souffle même ressemblait à un fracas de tambours guerriers, le Destin sursauta de surprise, le son était terrible avec de multiples dissonances, la musique n'était pas faite pour être belle, elle était faite pour impressionner, et ce fut le cas, c'est ainsi que nacquit Mehinoskl Dieu des lycans, appelé "Mehinoskl sorti du tambour". Mahinsokl n'avait nul pareil, il était fort, se muscles saillant impréssionnaient ses adversaires, ils avait un aspect béstial et térrifiant, ses lèvres retroussés faisaient apparaitre ses canine protubérante et tranchante comme des rasoirs. La planète qui répondait à l'appel de la flûte était l'Osl, planète frappait par d'éternel éclair, et de tremblement de terre, elle était recouverte de large forêt angoissante, et de steppes immenses. L'apparence des Lycans inspirer le respect, et la crainte, peu de gens oser s'élever contre eux, car leur culture était la guerre, les plus faibles étaient tués ou sacrifier en l'honneur des plus fort, ils ne vivaient que pour la guerre, et ne trouvait d'honneur que dans le combat. Les femmes Lycans sont d'une beauté brute, qui fait souven trembler les hommes de par leurs grandeurs, et leurs aspects dangereux, elles sont aussi guérrière que leurs hommes, qui sont véritablement les seuls à pouvoir les maîtriser.
Mehinoskl décida alors de créer son Dieu servant, il attrapa un éclair et le fit frapper contre un arbre de la steppe, puis de cette arbre calciné il prit le bout restant et le choqua violemment contre le sol, et le Dieu Drajsk des Orcs nacquit dans un hurlement de haine, il était imposant, et tenta tout d'abord de s'élever contre son maître après un combat qui dura plus d'un Doxyl, et lorsque Mehinoskl gagna enfin, il envoya Drajsk travailler dur pour lui, qui obéit plus par crainte que par respect. Mais lorsqu'il s'agit de faire la guerre, les Orcs sont tout à fait docile, et suivent leurs maîtres directs dans la mêlée avec enthousisame.
Le Destin sut alors que l'on ne s'ennuirais pas dans cette univers, et il dirigea son pas, vers un autre coin de l'Univers Connu.