La légende du Destin (partie II)

Toutes ces guerres n'était forcément pas très bénéfiques pour l'Univers, et il se dit que mettre de la sagesse pour contrer cette barbarie serait une intélligente idée, il souffla alors dans la cinquième flûte, le son était mélodieux, très doux et réfléchis, chaque note avait sa place, mais il aurait été incapable de refaire cette mélodie qui n'émanait pas de lui, mais d'un intelligence supérieur, d'une sagesse sans fin. Et le Dieu Maëlio sorti de ce son, c'était le Dieu des Tantraleks, il était d'une beauté qui dépassait celle des Anges, d'une sympathie plus élevé que les Dragons, d'un prestance semblable à celle des Vampires, et surtout il avait la même force que les Lycans, ceux-ci vouèrent alors une haine terrible envers les Tantraleks. Il était d'une beauté sans égale, et son visage rayonnait la réflection, et le calme. La planète qui lui ressemblait était Quantikar, planète bordé d'îles paisibles, bordée d'une mer bleue turquoise, et surmonté d'un soleil radieux, son chant ressemblait à clapotement pasible de la mer glissant doucement sur les plages de sables fins. Les femmes Tantraleks sont aussi très belle, et quand elle parle tout le monde se tait de peur de ne pas entendre ne serait-ce que pendant une seconde les douces paroles qui sortent de leurs bouches fines et ciselées.
Le Dieu maëlio pensa qu'il serait bien de créer un Dieu servant qui bien que ne pouvant pas être aussi sage que lui, serait toujours en quêtes de savoir, ainsi fut créer Vimiarine, Dieu des Humains. Sa peau n'avait pas de couleurs distinctes elle changeait selon le soleil, il était dépourvu d'aile et aimait à se déplacer lentement sur les plages pensant à en apprendre toujours plus, il était rêveur, et quelque peu mélancolique. Bien que les Tantraleks et les humains ne furent jamais très proches, les Tantraleks ont toujours aimé les Humains plus que toute autres races d'inférieur, et les Humains ont toujours éprouvé un profond respect envers leurs maîtres directs.
Puis le Destin voyant que toute cette sagesse innondait l'Univers de son aura, il pensa qu'il serait sage de mettre un peu de folie dans ce monde trop terre à terre.

Cette folie vint de la dernière flûte, le son qui en sortit fut cacophonique, sans battements, ni mesures, et pourtant cela était de la musique, on entendait la dissonance des sons, de cette mélodie plus qu'étrange, sortit de la terre, Sahneir Dieu des Démons. Et la planète qui répercutait cette musique insensée s'appellait l'Enfer. Cette planète était forte de rocher, de marias, et elle était sombre depuis le début de l'Univers, elle ne connaissait ni le jour, ni la matin, juste la nuit propoce aux vices. Sahneir avait un sourire figé sur son visage et il courut immédiatement vers les sources de malt, et vers les endroits à femmes, tout les bonheurs, même les plus court possible, il voulait tous les éssayer au moins une fois dans sa vie. Les Dragons lui montrèrent comment faire la fête, en chantant et en buvant, puis, il appris tout seul, ce qu'était la guerre, le goût du sang, et les orgies, ce qui ne répugnait pas totalement les Dragons qui devinrent alors la race préféré des Démons. Sahneir et et Merilios le Dieu des Dragons ne se quittèrent que très rarement. Sahneir était grand et fort, il était taillé pour la guerre, et à son menton pendant une barbe noire qu'il affectionnait, de petites cornes apprurent sur son crâne, et bien qu'il trouvé ces cornes peut ragoutantes, il finit par s'en accomoder. Les Démones, elle, étaient plus calme, et pendant que les hommes faisaient la fête, elles apprenaient l'art d'écrire, et l'on dit que les plus poêmes d'amour furent écrit par des Démons à la recherche du vrai amour que leur mâles ne pouvaient leurs apportés trop occupé par leurs fêtes orgiaques.
Sahneir se plaint alors qu'il n'y'avait que trop peu de femme pour s'amuser, il alla alors au plus profond de l'Enfer, là où la lave n'était qu'un liquide aussi palpable que de l'eau, et de cette châleur infinie il créa, Filianel Déesse des Succubes. Celle-ci était d'une beauté parfaite et trompeuse, dès qu'elle apparaissait dans une pièce, les Démons perdaient la têtes, oubliant tout bonne pensée, et aussi toutes bonnes manières. Cette beauté assassine se retourna quelque peu contre eux, car les Succubes consciente de leurs charmes, hypnotisèrent les hommes par des danses machiavéliques, et ils furent bientôt tellement ensorcelés qu'ils ne pouvaient vivre sans elles. De là, vient la haine irrascible qu'on les Démones envers leurs inférieures directes, les Succubes.

Le Destin vit alors que cet Univers était assez équilibré à son goût, et il le laissa se dévellopper à sa guise, à partir de ce moment, il observerait les races qu'il avait créer se devellopper, et peut être qu'un jour, ces races seraient assez avancées pour qu'il partage une once de son savoir avec elle.